“ L’Amérique à Oron ”

En suisse tout le monde sait que l’on trouve de magnifiques Coucous

mais également du chocolat

Et ce n’est pas Christian Kiefer, amoureux du Tobleronne qui dira le contraire…

Mais si vous passez par Oron, vous ne pourrez pas rater cette magnifique librairie (maintenant que je vous en parle).

Cette magnifique librairie du Midi est gouvernée par une capitaine amoureuse des livres ET de littérature américaine et organise (aidé par son formidable libraire ❤️et une équipe extraordinaire) depuis deux ans, un merveilleux festival littéraire qui amène l’Amérique en terre vaudoise.

À cette occasion, j’ai eu la chance de faire sa connaissance et de retrouver les auteurs que j’avais pour la plupart entrevu au Festival America, à Vincennes le week-end précédent.

Cette fois ce fut davantage plus intime (attention certaines photos risquent de déclencher des petites pointes de jalousie, mais je vous pardonne) et vraiment extraordinaire.

Un petit verre avec les auteurs (Mais où est Jean ?)

Pendant trois jours, j’ai profité un maximum des conférences magnifiquement organisées, chaque auteur était entouré de son interprète et avait à disposition un feuillet d’accompagnement pour ne jamais se perdre dans les questions. Une idée formidable et parfois nécessaire pour certains auteurs qui avaient tendances à perturber la classe. Mais comme c’était bien toutes ces rigolades même si j’étais souvent en décalé vu mon niveau d’Anglais 😂😂😂d’où l’importance des traducteurs et des traductrices.

Vous l’aurez compris on s’est instruit et on a bien rigolé. Toujours intéressant d’en découvrir davantage sur les auteurs, leurs livres et d’écouter des anecdotes en aparté.

Petite question subsidiaire : à votre avis lequel de ces auteurs a sept enfants ? Un indice : 6 filles et un garçon😉

et quand Jean Hegland se lâche et s’exprime, t’es ravie d’avoir capturé l’instant magique …

De Vrais moments de bonheur étalés sur trois jours, c’est même meilleur que le chocolat. Et ça fait pas grossir, uniquement ta bibliothèque 😂

Ne dites rien à mon banquier, déjà qu’il s’interroge sur ma virée en Suisse…

Et pourtant j’ai été sage, comme une image, regardez …

C’est vrai j’avoue je me suis fait quelques cadeaux mais bon voilà quand t’as l’occasion d’écouter en concert un formidable groupe qui ce soir – là officiait dans une boucherie, tu repars avec le CD, obligé…

et pour le plaisir des oreilles, un autre concert sur la place du Festival, The Shoesshine Boys qui ont interprété de formidable morceaux de Johnny Cash (entre autre)

L’occasion était donnée également de revoir l’extraordinaire film : un homme presque parfait adapté du formidable roman de Richard Russo.

mais aussi d’assister à une lecture en musique du magnifique roman : Construire un feu de Jack London .

Le dernier jour finit en apothéose avec une formidable joute de traduction tout d’abord avec Sophie Aslanides et Anatole Pons qui se sont prêtés au jeu d’une traduction d’un texte de Laura Kasischke, avec la participation de Céline Leroy qui a représenté à merveille Laura qui était hélas absente du festival pour raison de santé.

Cette formidable joute était animée par Johanne Boulat.

Céline Leroy est la traductrice de Laura Kasischke depuis plusieurs parutions.

Évidemment, comme j’ai été très sage, me suis offert une belle image auprès du Stand de Lucien qui a réalisé des sérigraphies en mettant à contribution des artistes pour représenter un livre de ses auteurs préférés, je vous laisse admirer les tableaux.

Vous pouvez retrouver ces affiches sur Instagram en cliquant sur l’arbre à bouteille ou en envoyant un e-mail à Lucien pour plus d’info ou vous faire plaisir si vous êtes sage vous aussi.

“ 12 romans 12 affiches ! larbreabouteilleseditions@gmail.com

Entre chaque moment, l’occasion pour les lecteurs de rencontrer les auteurs et profiter parfois d’un moment d’inattention pour voler des extras quand les manches se relèvent à l’occasion des dédicaces.

Puis arriva le moment tant attendu : une course de bateaux entre les auteurs et les enfants qui avaient construit leur propre bateau. Moment inoubliable, tricheur en vue, et auteurs aussi heureux que le public.

Vous l’aurez compris, ce festival est formidable et accessible à tous les lecteurs (qui ont peur des grands salons). Ce week-end était synonyme de bonheur, d’amitié, de rencontres , de retrouvailles, de bonnes bières vaudoises, de bons hamburgers frites, de musique, de livres, de livres et de livres…. mais aussi de rire, d’amour, des bisous, de la folie, (c’est trop bon la folie).

Un week-end magique que je clôturerai tout d’abord en remerciant Aude qui m’a chaleureusement reçu,

puis Yanike qui m’y a accompagné (en grande partie)

mais également toute l’équipe qui officiait autour de Marie

et Marie sans qui tout cela n’aurait pas été possible, dont l’immense joie fait tellement mais tellement plaisir à voir. (Grand merci à Christophe Chammartin d’avoir immortalisé ce bonheur ❤️)

Goodbye and see you in 2020🇨🇦🇺🇸📖❤️

Belle rencontre d’une CHANSON DANS LA VILLE SILENCIEUSE

Quand tu retrouves un auteur que tu apprécies depuis ce merveilleux roman  » Je Vais bien ne t’en fait pas” qu’une magnifique adaptation cinématographique a suivi, tu t’apprêtes à passer une sublime soirée en belle compagnie.

Écouter un auteur parler de son dernier ouvrage est un moment privilégié. Le livre prend une autre dimension, devient plus vivant, plus précieux.

Olivier Adam : « Quand j’ai le lieu, j’ai le livre.»

Chanson de la ville silencieuse nous transporte à Lisbonne, ville de l’intranquillité où au hasard d’une rue, un jour Olivier Adam a cru apercevoir le fantôme de Nino Ferrer . Un premier point de départ pour un futur roman…peut-être ?

Voilà comment est née l’idée de ce roman, ajoutons à cela l’envie de parler de la nécessité de se libérer des identités figées. Comment un enfant peut-il se construire, se définir auprès de parents totalement absents de leurs responsabilités, parfois encore eux-mêmes de grands enfants. Des parents uniquement amoureux de leur art. Des vies où les enfants n’ont pas leurs places. Des enfants négligés, qui grandissent sur une terre meuble, qui seront plus tard en manque de confiance, avec de grande difficulté à s’imposer à force d’avoir été oublié.

En mettant en scène une femme Olivier Adam se livre plus intimement, avec plus de délicatesse. Fendre l’armure en composant le masque.

Puis donner de la musicalité au récit.

 » Je suis la fille du chanteur, la fille dans les rues de Lisbonne, sur les pentes de l’Alfama. La fille dont le père a été déclaré mort. Qui guette un musicien errant. Une étoile dépouillée d’elle-même, un ermite qui aurait tout laissé derrière lui. »

( clique et écoute)

On ferme les yeux et on pense à Charlotte Gainsbourg au timbre si particulier, qui a du partager son père de son vivant puis mettre sa douleur en berne à sa mort pour accueillir la peine de ses fans.

Olivier Adam souhaitait nous offrir un objet littéraire non contaminé par les sujets journalistiques actuels.

Un besoin aussi d’écrire sur ses frayeurs pour conjurer le sort.

De répondre à certaines questions qui s’immiscent dans la vie d’un père…

Que fait-on avec nos disparus ?

Qu’hérite- t-on d’un père fragile ?

Que transmettons à ses enfants ?

Tant de questions pour lesquelles écrire peut apporter des réponses.

L’auteur aborde le thème de l’absence mais aussi de l’appartenance. Être là tout en restant de côté tel un observateur.

Et une fois encore, il bouleverse par ses mots, que j’espère avoir au mieux retranscris. Un moment passionnant où je me suis permis de prendre des notes pour en oublier le moins possible et rester le plus fidèle aux mots de l’écrivain.

Je finirai sur ces mots :

« Est-ce qu’un livre vit une fois qu’il est écrit ou une fois qu’il est lu ? »

Pour moi les livres vivent éternellement dans mon cœur, dans mes souvenirs et deviennent plus précieux encore lorsqu’ils sont passés par les mains de l’auteur et qu’il porte sa véritable signature.

Un livre, une rencontre, une dédicace, qui donnent au final de merveilleux souvenirs.

Ma Chronique de cette merveille ci- dessous si ça vous tente :

https://dealerdeligne.wordpress.com/2018/01/18/chanson-de-la-ville-silencieuse/

« Lucy in the sky »

Lucy in the sky de Pete Fromm aux Éditions Gallmeister



Lucy in the sky with diamonds des Beatles, s’est doucement glissé dans mes pensées pendant cette magnifique lecture.
Tantôt Luce, tantôt Lucy, en véritable Tomboy, cette jeune fille de 14 ans fonce avec frénésie vers sa vie d’adulte, sans peur et pleine de courage. Lucy a du caractère, une forte personnalité, elle fait de sa différence une force. Elle découvre ses premiers émois, ses premiers amours et s’aperçoit que le couple atypique que forme ses parents n’est pas aussi solide qu’elle le croyait. Sa mère profite à sa manière de son célibat forcé pendant les longues absences du père de Lucy.
 » Chez nous l’amour n’est pas une chose qu’on fait semblant de ne pas voir dans l’espoir que ça disparaisse. « 



Lucy, plus déterminée que jamais vole vers la liberté et s’apprête à vivre des aventures inoubliables.


« On peut repartir de zéro, Luce. On peut tout faire, aller n’importe où. On peut être qui on veut. »



Pete Fromm nous offre avec Lucy in the sky un magnifique roman d’apprentissage. Étant lui-même père de deux garçons, je suis admirative de sa force d’écriture pour réussir aussi bien à retranscrire les rapports mère/fille et père/fille avec autant d’authenticité et d’émotion. Il est extrêmement proche de ses personnages, et nous fait partager leurs angoisses, leurs colères, leurs amours, leurs vies avec une grande sensibilité mais aussi beaucoup d’humour. On s’attache à Lucy, on savoure la plume de Pete Fromm et page après page Lucy grandit, nourrit par une bonne dose d’amour, beaucoup d’humour et un sacré culot.
Une première belle lecture avant une deuxième rencontre tout aussi remarquable.
L’occasion de partager avec vous cette belle soirée à la librairie L’autre rive.


Quelques jours après le Festival América de Vincennes une rencontre plus intimiste où j’ai pris plaisir à l’écouter nous parler de ses livres, de son écriture, de sa famille, de ses métiers. Quel bonheur ces partages d’anecdotes sur ses rencontres insolites et parfois dangereuses que lui a réservé la nature. Avec beaucoup d’humour et en toute simplicité, il se livre et on découvre un homme aussi généreux que sa plume. Je sais déjà que mes prochaines lectures dessineront des sourires sur mes lèvres, car lorsqu’à mon tour je croiserai l’ours, l’élan, le lynx, je repenserai à cette sublime soirée et aux aventures de Pete. Mes lectures seront encore plus belles, plus fortes émotionnellement, et je m’en réjouis d’avance.
À saluer au passage le magnifique travail de la libraire et de l’attachée de presse Marie-Anne pour les traductions.


Pete Fromm est née dans le Wisconsin. Il a été Ranger avant de se consacrer à l’écriture. Il est l’auteur de plusieurs romans et de recueils de nouvelles. Il vit à Missoula dans le Montana.


Prochainement d’autres romans de l’auteur à découvrir chez Gallmeister, une maison d’édition chère à mon cœur de lectrice férue de belles plumes américaine.

Et un , et deux , et troisième Quai du Polar …. 



Cherche pas , tu trouveras pas de ballon , ici t’as que des flingues et des flingués .Le blanc est là pour les emplacements des corps et pas pour délimiter le terrain, et fait gaffe c’est miné , ça t’explose  les pupilles, ça t’éclate le cœur, ça te flingue le maquillage, ça t’empêchera de dormir mais pas de vivre , ça risque juste de te fâcher avec ton banquier car le résultat final va également explosé ton budget mais en même temps on s’en fou et s’il insiste on demandera à nos potes écrivains de le flinguer dans leurs prochains polars …

Voilà t’as compris, ici t’es au Quai du Polar (mais pas que ) ici le rouge et le noir se côtoient pour notre plus grand plaisir . C’est sanglant dans ses allées , sur ces tables beaucoup de noirs et derrière ces tables t’as les talentueux écrivains qui noircissent encore quelques pages pour notre plus grand plaisir… La chasse aux dédicaces est ouverte, pas besoin de permis juste un peu de patience car les lecteurs sont aux Rdv .

T’es prêt ? Allez c’est parti , et si t’y étais, tu sais que tu as droit à plusieurs mi-temps pour te rafraîchir à la buvette mais pas de prolongation, t’as trois jours alors fonce et éclate -toi ..

Mon Géant de papier Benoît Minville et son Magnifique Rural Noir , un bonheur de le retrouver ,très heureuse et fière de son succès …. Lis le tu verras ça poutre….

t’as le tien ? car là y’en a plus…… tous vendu ……trop cool 😉

.

Fait gaffe si t’es pas venu tu vas pleurer…

  
Et il est là aussi Caryl Ferey


 

Les trois grands ( mais si Antonin ….) de l’équipe Territori, la manufacture des livres 😉 Franck Bouysse 💖 Patrick K .Dewdney 💜et Antonin Varenne ❤️


Benoît Séverac qu’il me tarde de découvrir…. Même si je crains le pire ,je risque d’appeler la SPA ….un petit nouveau à la Manufacture .

 Julien et Yvan de la librairie L’esprit livre de Lyon deux libraires géniaux juste un peu ruineux mais comme j’adore leur came je leur en veux pas du tout c’est juste le banquier qui se fâche , pas moi 😉

Craig Johnson,mon Cow-Boy préféré avec qui j’ai découvert les éditions Gallmeister

 

Jon Bassof ,accompagné d’un interpréte gravure de mode ,j’ai du être trop troublé ,photo introuvable 😉

 

Jax Millar pas infâme du tout …

 

Non ce n’est pas Johnny Thunders mais Carlos Zanon son auteur ,hyperrrrrr Sympa

 

Patrick Delperdange et son humour Belge bien plus au point  que Benoit Poelvorde ,et sa phobie des fôrets ……

 

Quand le Canada se rapproche de la Belgique c’est détonnant ,Patrick Sénécal et Paul Colize,le Vide est comblé

 

Sara Gran ,que je découvre actuellement avec ‘La ville des morts ‘ à lire absolument,vraiment une plume géniale .

 

Richatd Price,un de mes chouchous Américains .

 

Fabio,l’homme mi-ange mi-démon ,version pirate Lyonnais ;

 

Sandrine Collette qui a adoré la photo de la vilaine mère qui va accompagnée mon futur billet sans poussières ….

 

Dolores Redondo toujours accompagné de son gardien invisible ……

 

Ian Levinson,qui m’avait séduite avec son taxi jaune New-Yorkais,ça n’étonnera personne

 

Lui aussi porte un flingue,vous fiez pas à son sourire charmeur ,et s’il sort les menottes,bizarrement toutes les filles tendent les poignets,un pouvoir de malade il a Olivier Norek 😉

 

Bonnie ?????? non Nathalie Hug et son Panama ,un peu cachée,because petit déj au champagne ,ah les caprices des stars ……
Chabadabada Chabadabada,un homme et sa femme ,un Camhug ,et un dernier Bébé W3

 

Une pause café avec ma copinette et  mon chouchou ,oui j’exagére mais je vous enquiquine en attendant lisez Franck Bouysse ,Même Tavernier il a craqué ,si ça c’est pas un label de qualité .

 

Quand deux tatoués se rencontrent ça poutre là aussiiiiiiiii

 

Mon banquier n’est pas dans mes amis,suis sauvée ……j’ai craqué mais ça n’étonnera personne,c’est l’effet Impulssssss

 

Rhooooooo mon Pote Brad que j’adore ,trop bréve rencontre mais immortalisée ,trop photogénique j’adoreeeeeee

 

rhoooooooo des cadeauxxxxxxxx

 

un beau ‘plateau ‘pour une conférence très   »rural noir’ ,personne ne s’est  ‘ Battues’,il reste que la poussiére ‘ et même pas peur que ‘tous les Dieux nous abandonnent ‘

 

Un mariage ?????

 

Selfie  piqué à mon Géant ,Patrick se cache il a cru apercevoir une Fôret ……..

Hervé Le Corre aussi sympa que talentueux

 

j’ai retrouvé la gravure de mode ………Bientôt acteur …..Si Si

 

Enfin ma rencontre avec John Connolly que je lis depuis 2003 ,il est d’enfer .

 

les Loups de Jerémy Fel ont franchi ma porte pour mon plus grand bonheur,humble malgré un sacré talent ..

Le plus dur ça va être de choisir ma prochaine lecture ,en pensant à ce magnifique week-end,bien plus passionnant qu’un Match de foot ………Vivement le prochain ……

Double Gun 

 T’aime Bouysse et Varenne ?

Moi j’adore et samedi soir m’en suis pas privé.

Et c’est là qu’il fallait être pour passer une formidable soirée en leur compagnie.

Yvan a assuré le débat de manière admirable. Un sacré bagou ce libraire, un mec passionné ça se sent , et ça se voit . Ça fait chaud au cœur .

Franck , très sérieux et Antonin un peu moins …(ils m’ont bien fait sourire ) Nous ont fait découvrir un peu plus leurs supers romans noirs .

Plateau  mon petit Diamant Noir

Battues  Ma Pépite

Un débat super enrichissant et quand t’as lu et adoré tout comme moi , c’est les étoiles pleins les yeux que tu écoutes ces deux enchanteurs du monde rural .


Le public bien présent ( quasi 50 personnes) profitait agréablement de cette superbe soirée .

   Chacun nous a lu quelques passages et ce fut fort agréable, bon ok j’ai une préférence pour Franck , mais en même temps il était plus appliqué … Si si ..
Cette soirée était aussi l’occasion de retrouver les Lyonnais de mon cœur et de craquer pour quelques livres …. Ben oui j’ai encore flambé ….

Bon vous l’aurez compris, samedi soir j’avais rendez-vous avec le bonheur et pas de lapin mais des auteurs formidables, des libraires passionnés , sympas , un grand merci à Yvan ,Julien et Laurent pour leur accueil et leur gentillesse. Merci à Franck pour ma superbe dédicace ( non vous ne la verrai pas, c’est top secret )

 Merci aussi à Antonin, sacré rigolo celui-ci .

 Et merci à tous les lecteurs qui ont participé, c’était génial, j’y repasserai à l’esprit livre j’ai trop aimé .

 Des souvenirs merveilleux que je partage avec vous . Bizzzzzz